http://www.rainbowguitars.com/guitar/gibson-custom-shop/flying-v-custom-ebony-limited-edition/csfvcexebgh173/gb
Elle a beau ne pas encore avoir fait l'objet d'un fantasme, la Flying V est quand même un des instruments les plus cools de la création, et à condition qu'elle soit assumée c'est le genre de gratte qui ne passe pas inaperçue sur scène... Bien sûr l'idéal est d'en trouer une de 58 en korina, mais vu qu'il y en a eu moins d'une centaine, ça risque de ne pas être simple. Alors quitte à partir sur autre chose, autant aller au bout du délire avec cette édition limitée du Custom Shop. On y retrouve toutes les qualités visuelles de la Les Paul Custom : finition noire, accastillage doré, repères de touche en blocs et le fameux logo diamant sur la tête. Difficile de faire plus classe, et puis il y a peu de chance que vous en croisiez une autre un jour !
Monday, May 13, 2013
Sunday, May 12, 2013
Bouquin : Squier cette fois-ci !
Je vous avais parlé du bouquin sur Epiphone il y a quelques jours, entre temps j'ai complété ma culture avec son pendant à manche vissé ! Même collection et maquette, auteur différent (Tony Bacon, qui a un style un peu plus chiant que Walter Carter mais qui sait clairement de quoi il parle...), et sujet très proche, à savoir la marque Squier, sous marque officielle de Fender depuis maintenant trente ans.
Encore une fois, c'est une lecture passionnante, et la problématique est la même : comment faire exister une sous-marque en naviguant entre copie servile et personnalité propre ? Squier était à l'origine une marque de cordes rachetée par Fender dans les années 60, et c'est le nom qu'ils ont décidé d'utiliser au moment de lancer leurs propres guitares japonaises dans les années 80 pour faire face à l'invasion des Tokai et autre Greco. Le Japon est devenu la Corée puis la Chine, et enfin l'Indonésie, et les répliques de modèles vintage Fender sont devenues des modèles propres à la marque sans pour autant perdre l'héritage familial de vue.
Squier est parvenue à développer une image plus jeune, plus dynamique et plus aventureuse que sa grande soeur, et parmi les belles pelles qui peuplent ce bouquin on retiendra les modèles Obey décorés par l'artiste visuel Shepard Fairey, le modèle Vista Venus de Courtney Love (à la forme bien biscornue et couleur Surf Green), le modèle Hello Kitty (pour tenter de draguer les filles qui commencent la guitare, j'en avais une et je l'ai revendue, snif) et enfin les deux modèles qui ont connu un parcours inédit : ils étaient sortis en tant que modèles Squier et ont été réédités sous le nom Fender, dans la gamme Pawn Shop. La Super-Sonic (ressortie cette année), et surtout la 51 (photo), une guitare partie de cette idée géniale : et si la Precision Bass de 51 était adaptée en guitare ?
Bref c'est un bouquin qui donne envie d'aimer Squier au même titre que Fender et laisse à penser que la petite marque nous réserve encore pas mal de belles surprises... C'est ici que ça se passe : http://www.amazon.fr/Squier-Electrics-Fenders-Budget-Guitar/dp/1617130222
Encore une fois, c'est une lecture passionnante, et la problématique est la même : comment faire exister une sous-marque en naviguant entre copie servile et personnalité propre ? Squier était à l'origine une marque de cordes rachetée par Fender dans les années 60, et c'est le nom qu'ils ont décidé d'utiliser au moment de lancer leurs propres guitares japonaises dans les années 80 pour faire face à l'invasion des Tokai et autre Greco. Le Japon est devenu la Corée puis la Chine, et enfin l'Indonésie, et les répliques de modèles vintage Fender sont devenues des modèles propres à la marque sans pour autant perdre l'héritage familial de vue.
Squier est parvenue à développer une image plus jeune, plus dynamique et plus aventureuse que sa grande soeur, et parmi les belles pelles qui peuplent ce bouquin on retiendra les modèles Obey décorés par l'artiste visuel Shepard Fairey, le modèle Vista Venus de Courtney Love (à la forme bien biscornue et couleur Surf Green), le modèle Hello Kitty (pour tenter de draguer les filles qui commencent la guitare, j'en avais une et je l'ai revendue, snif) et enfin les deux modèles qui ont connu un parcours inédit : ils étaient sortis en tant que modèles Squier et ont été réédités sous le nom Fender, dans la gamme Pawn Shop. La Super-Sonic (ressortie cette année), et surtout la 51 (photo), une guitare partie de cette idée géniale : et si la Precision Bass de 51 était adaptée en guitare ?
Bref c'est un bouquin qui donne envie d'aimer Squier au même titre que Fender et laisse à penser que la petite marque nous réserve encore pas mal de belles surprises... C'est ici que ça se passe : http://www.amazon.fr/Squier-Electrics-Fenders-Budget-Guitar/dp/1617130222
Friday, May 10, 2013
Fantasme 110 - Gibson L-00 1935
http://www.umanovguitars.com/store/item/1935-gibson-l-00-1/
J'adore les petites Gibson en tout acajou, des guitares vraiment vivantes qui ont plein de secrets à l'intérieur, surtout quand elles datent des années 30, elles ont eu le temps de voir des choses... Celle-ci est noire, contrairement à l'écrasante majorité des modèles sunburst que l'on peut trouver sur le marché de l'occasion. Noire avec plaque blanche qui plus est, excusez du peu...
J'adore les petites Gibson en tout acajou, des guitares vraiment vivantes qui ont plein de secrets à l'intérieur, surtout quand elles datent des années 30, elles ont eu le temps de voir des choses... Celle-ci est noire, contrairement à l'écrasante majorité des modèles sunburst que l'on peut trouver sur le marché de l'occasion. Noire avec plaque blanche qui plus est, excusez du peu...
Wednesday, May 8, 2013
Interview - La lutherie en amateur
On imagine souvent que le luthier est arrivé tout armé en sachant déjà fabriquer un instrument à partir d'un paquet d'allumettes, mais avant ça il a bien fallu qu'il se lance et qu'il fasse ses armes, et ça n'importe qui peut le faire ! à condition d'avoir une détermination sans faille bien sûr...
L'histoire de Benoit de BG Custom Guitars m'a interpellé : il fabrique des instruments très cools mais assume son statut de "luthier amateur", et je me suis dit qu'un petit brin de causette avec lui serait le meilleur moyen de donner envie à certains d'entre vous de vous lancer !
C'est parti donc...
Comment t'es-tu formé à la lutherie ?
J'ai toujours été passionné par le travail du bois, ce qui m'as conduit à passer un C.A.P. ébénisterie d'art ainsi qu'une mention complémentaire de restauration de meubles anciens. Je suis aussi un grand amateur de rock, de métal et des guitares et basses qui vont avec. Un jour j'ai commencé à fusionner mes deux passions en bricolant mes guitares, refaire les peintures, changer les micros, pour finir par refaire les corps et puis du coup après l'envie d'en faire une entièrement selon mes envies s'est imposée. Alors je me suis pas mal renseigné grâce aux forums internet et livres sur le sujet, et après avoir récupéré toutes les infos utile pour débuter est née ma BG-03.
Quels sont tes modèles de lutherie ? Ta guitare idéale ?
Pour moi la guitare de mes rêves ce serait, pas très original, une Gibson Les Paul 59, simplement parce que j'adore. Vu que je ne suis pas pour la copie, je m'inspire des modèles que j'apprécie : Les Paul, Strato, Flying, SG, en y retravaillant les formes à ma façon. Je ne refais jamais vraiment deux fois la même. Je crois qu'il ne peut pas y avoir une guitare idéale mais plutôt beaucoup de guitares différentes avec leur qualités et défauts et qu'une buche peut plaire à l'un alors qu'une PRS déplaira à l'autre…
Quelle est la guitare dont tu es le plus fier ? Pourquoi ?
Ma BG-03 car c'est la première sur laquelle j'ai osé attaquer la fabrication d'un manche, ce qui me faisait le plus peur, et c'est celle avec laquelle j'ai le plus de recul, deux ans qu'elle est fabriquée et rien n'as bougé, son sustain et son grain sont terrible. A l'époque je lui avait fait un vernis mais maintenant je fait essentiellement des finitions huilées/cirées car on sent les fibres du bois et je trouve le toucher plus naturel. J'ai fait un cigar-box(BG-04) pour "L'Embarcadère", le studio d'enregistrement de mon cousin "Rugai". Une basse que j'ai fabriqué pour Willy le bassiste de "Les Mégots", elle lui a servit à enregistrer leur E.P., il s'en sert aussi en concert. Et en début d'année j'ai fabriqué une guitare pour Sly le guitariste de "Crowling", et elle vas bientôt entrer en studio pour l'enregistrement de leurs premier E.P. ça fait plaisir de pouvoir écouter ses instruments joués par d'autres musiciens qui en plus en sont visiblement satisfait. En bref, je suis fier de chacune de mes créations car elles sont toutes différentes les unes des autres tout en ayant leurs points communs qui en font des BG Custom Guitars.
Quelle est la plus grande difficulté quand on se lance dans la construction d'un instrument ?
Pour moi la plus grande difficulté c'est surtout le financement, car avec tout ses bouts de bois et pièces détachées les tarifs montent vite donc ça limite pas mal les fabrications, en ce moment je cherche à vendre deux guitares pour pouvoir en fabriquer des nouvelles. Ensuite avant de commencer il faut s'assurer d'avoir toutes les informations et pièces détachées essentielles à la construction de son instrument (plan, dimensions de tout les éléments et si possible avoir toutes les pièces avant d'attaquer), et de connaitre les rudiments du travail du bois et ses sécurités à prendre car les doigts peuvent sauter rapidement. Apres tout ça, faut se lancer.
Pourquoi ne pas franchir le pas et devenir professionnel ?
Je pense avoir encore pas mal à apprendre avant de pouvoir répondre de façon professionnelle auxdifférentes demandes des musiciens. Pour l'instant je me contente de fabriquer des instruments qui me plaisent et si ils peuvent profiter à d'autres musiciens, c'est cool. Mais bien sur idée est tentante. Il faudrait que je puisse distribuer mes instruments que je fabrique au compte gouttes, tout en gardant mon travail qui m'assure une stabilité professionnelle, donc je réfléchis actuellement au statut d'auto-entrepreneur qui est le seul, je crois, à pouvoir me faire cumuler les deux.
Quel conseil donnerais-tu au passionné qui veut se lancer dans la lutherie ?
Soit qu'il suive une formation en lutherie et là je pense qu'il gagnera beaucoup de temps dans l'apprentissage ou alors qu'il se renseigne et s'entraîne au travail du bois, ensuite qu'il n'aie pas peur de bricoler sur des vielles pelles pour commencer, et à force de travail et de recherches dans les livres spécialisés et les forums, il pourra s'attaquer à la guitare qui le fascine !
L'histoire de Benoit de BG Custom Guitars m'a interpellé : il fabrique des instruments très cools mais assume son statut de "luthier amateur", et je me suis dit qu'un petit brin de causette avec lui serait le meilleur moyen de donner envie à certains d'entre vous de vous lancer !
C'est parti donc...
Comment t'es-tu formé à la lutherie ?
J'ai toujours été passionné par le travail du bois, ce qui m'as conduit à passer un C.A.P. ébénisterie d'art ainsi qu'une mention complémentaire de restauration de meubles anciens. Je suis aussi un grand amateur de rock, de métal et des guitares et basses qui vont avec. Un jour j'ai commencé à fusionner mes deux passions en bricolant mes guitares, refaire les peintures, changer les micros, pour finir par refaire les corps et puis du coup après l'envie d'en faire une entièrement selon mes envies s'est imposée. Alors je me suis pas mal renseigné grâce aux forums internet et livres sur le sujet, et après avoir récupéré toutes les infos utile pour débuter est née ma BG-03.
Quels sont tes modèles de lutherie ? Ta guitare idéale ?
Pour moi la guitare de mes rêves ce serait, pas très original, une Gibson Les Paul 59, simplement parce que j'adore. Vu que je ne suis pas pour la copie, je m'inspire des modèles que j'apprécie : Les Paul, Strato, Flying, SG, en y retravaillant les formes à ma façon. Je ne refais jamais vraiment deux fois la même. Je crois qu'il ne peut pas y avoir une guitare idéale mais plutôt beaucoup de guitares différentes avec leur qualités et défauts et qu'une buche peut plaire à l'un alors qu'une PRS déplaira à l'autre…
Quelle est la guitare dont tu es le plus fier ? Pourquoi ?
Ma BG-03 car c'est la première sur laquelle j'ai osé attaquer la fabrication d'un manche, ce qui me faisait le plus peur, et c'est celle avec laquelle j'ai le plus de recul, deux ans qu'elle est fabriquée et rien n'as bougé, son sustain et son grain sont terrible. A l'époque je lui avait fait un vernis mais maintenant je fait essentiellement des finitions huilées/cirées car on sent les fibres du bois et je trouve le toucher plus naturel. J'ai fait un cigar-box(BG-04) pour "L'Embarcadère", le studio d'enregistrement de mon cousin "Rugai". Une basse que j'ai fabriqué pour Willy le bassiste de "Les Mégots", elle lui a servit à enregistrer leur E.P., il s'en sert aussi en concert. Et en début d'année j'ai fabriqué une guitare pour Sly le guitariste de "Crowling", et elle vas bientôt entrer en studio pour l'enregistrement de leurs premier E.P. ça fait plaisir de pouvoir écouter ses instruments joués par d'autres musiciens qui en plus en sont visiblement satisfait. En bref, je suis fier de chacune de mes créations car elles sont toutes différentes les unes des autres tout en ayant leurs points communs qui en font des BG Custom Guitars.
Quelle est la plus grande difficulté quand on se lance dans la construction d'un instrument ?
Pour moi la plus grande difficulté c'est surtout le financement, car avec tout ses bouts de bois et pièces détachées les tarifs montent vite donc ça limite pas mal les fabrications, en ce moment je cherche à vendre deux guitares pour pouvoir en fabriquer des nouvelles. Ensuite avant de commencer il faut s'assurer d'avoir toutes les informations et pièces détachées essentielles à la construction de son instrument (plan, dimensions de tout les éléments et si possible avoir toutes les pièces avant d'attaquer), et de connaitre les rudiments du travail du bois et ses sécurités à prendre car les doigts peuvent sauter rapidement. Apres tout ça, faut se lancer.
Pourquoi ne pas franchir le pas et devenir professionnel ?
Je pense avoir encore pas mal à apprendre avant de pouvoir répondre de façon professionnelle auxdifférentes demandes des musiciens. Pour l'instant je me contente de fabriquer des instruments qui me plaisent et si ils peuvent profiter à d'autres musiciens, c'est cool. Mais bien sur idée est tentante. Il faudrait que je puisse distribuer mes instruments que je fabrique au compte gouttes, tout en gardant mon travail qui m'assure une stabilité professionnelle, donc je réfléchis actuellement au statut d'auto-entrepreneur qui est le seul, je crois, à pouvoir me faire cumuler les deux.
Quel conseil donnerais-tu au passionné qui veut se lancer dans la lutherie ?
Soit qu'il suive une formation en lutherie et là je pense qu'il gagnera beaucoup de temps dans l'apprentissage ou alors qu'il se renseigne et s'entraîne au travail du bois, ensuite qu'il n'aie pas peur de bricoler sur des vielles pelles pour commencer, et à force de travail et de recherches dans les livres spécialisés et les forums, il pourra s'attaquer à la guitare qui le fascine !
Monday, May 6, 2013
Fantasme 109 - Fender Custom Shop Mustang
http://www.guitarshop.fr/guitare/guitare_electrique/fender_custom_shop/produit-154086-2013_namm_mustang_limited_edition.html
Il était très difficile de rater cette famille merveille sur le stand du Custom Shop Fender au NAMM 2013 : une bonne vingtaine de Mustangs en rang d'oignons, chacune d'une couleur plus funky que sa voisine. Alors bien sûr, il paraîtra incongru à la majorité d'entre vous de payer 3699 euros pour la réédition d'une guitare dont la côté ne dépasse jamais 2000 euros pour un modèle des années 60 en état neuf. La Mustang était après tout un modèle pour les débutants, la version avec vibrato de leur Duo-Sonic à deux micros et tout petit diapason. Mais justement, l'idée d'une version Custom Shop (et donc de bois bien mieux choisis et d'une guitare bien mieux fabriquée qu'à l'époque) apporte une noblesse à ce concept parfaitement génial, et permet d'apprécier une Mustang absolument sublime dans sa robe blanche sans avoir à s'emmerder avec une vintage qui tient plus du jouet que de l'instrument de musique. L'idéal étant bien sûr de se lancer dans une collection pour l'avoir dans plein de couleurs différentes.
Il était très difficile de rater cette famille merveille sur le stand du Custom Shop Fender au NAMM 2013 : une bonne vingtaine de Mustangs en rang d'oignons, chacune d'une couleur plus funky que sa voisine. Alors bien sûr, il paraîtra incongru à la majorité d'entre vous de payer 3699 euros pour la réédition d'une guitare dont la côté ne dépasse jamais 2000 euros pour un modèle des années 60 en état neuf. La Mustang était après tout un modèle pour les débutants, la version avec vibrato de leur Duo-Sonic à deux micros et tout petit diapason. Mais justement, l'idée d'une version Custom Shop (et donc de bois bien mieux choisis et d'une guitare bien mieux fabriquée qu'à l'époque) apporte une noblesse à ce concept parfaitement génial, et permet d'apprécier une Mustang absolument sublime dans sa robe blanche sans avoir à s'emmerder avec une vintage qui tient plus du jouet que de l'instrument de musique. L'idéal étant bien sûr de se lancer dans une collection pour l'avoir dans plein de couleurs différentes.
Saturday, May 4, 2013
Avalanche de fantasmes : les nouveaux modèles du Custom Shop Fender
Je reçois parfois des communiqués de presse tellement excitants qu'il m'est impossible de ne pas les relayer... Le Custom Shop Fender vient d'annoncer sa collection printemps 2013, et il semble qu'ils ont voulu me plaire puisque la tendance générale est au micro unique et au noir et blanc... Il n'en fallait pas plus donc pour justifier ce post de photos, rien que pour se rincer l'oeil !
La première est la Cabronita "Gato Gordo" Jaguar (la Jaguar Cabronita du gros chat donc, rien que ça), et elle reprend le génial design Cabronita (une Fender classique mais avec un chevalet fixe et un unique TV Jones Powertron), sauf que là c'est une Jaguar avec un diapason allongé (plutôt que le minuscule 24 pouces habituel sur les Jaguar), et les contrôles sont situés sur une plaque métallique indépendante, exactement comme sur... une Jazz Bass ! Trop fort...
La Cabronita Luchador Stratocaster est elle aussi dérivée du concept Cabronita, mais cette-fois elle reprend l'indémodable forme de la Strat. Pour les deux modèles on garde bien entendu une tête de Telecaster (ne jamais oublier que le concept de la Cabro vient de ce modèle...), et les deux boutons sont directement sur le corps, avec une petite plaque comme sur le prototype de la Tele, la fameuse Snake Head.
Enfin, le dernier modèle du lot est aussi une guitare à un seul micro et il s'agit de la Limited Jazzmaster Pro. La série Pro est conçue pour proposer des outils de tournée le plus performant possible, et ces modèles ne sont donc pas des répliques de millésimes historiques. Cette Jazzmaster est donc une pelle ultra simple avec son unique humbucker, ses deux contrôles et son corps blanc à plaque dorée. Bien sûr chaque détail a été soigné pour subir les rigueurs de la route sans broncher.
Pour couronner le tout, nos amis bassistes ont droit à une Precision 55 en finition noire par dessus un sunburst, pour un résultat fort sexy, monté d'origine en filé plat qui plus est.
Bien sûr, ils ont aussi présenté une guitare d'un mauvais goût absolument parfait avec la Custom Deluxe Jazzmaster, dans la lignée des modèles Select. On a droit à un corps en okoume (un bois exotique bien sûr) avec table rapportée en érable, et le tout bien sûr couronné par de l'accastillage doré ! Et je ne vous parle même pas du manche en érable flammé ou des mécaniques à blocage... Comble du ratage, elle a deux micros... Restons donc sur les trois modèles superbes que vous pouvez voir sur cette page.
Pour le reste c'est ici que ça se passe : http://www.fender.com/custom-shop/guitars/
La première est la Cabronita "Gato Gordo" Jaguar (la Jaguar Cabronita du gros chat donc, rien que ça), et elle reprend le génial design Cabronita (une Fender classique mais avec un chevalet fixe et un unique TV Jones Powertron), sauf que là c'est une Jaguar avec un diapason allongé (plutôt que le minuscule 24 pouces habituel sur les Jaguar), et les contrôles sont situés sur une plaque métallique indépendante, exactement comme sur... une Jazz Bass ! Trop fort...
La Cabronita Luchador Stratocaster est elle aussi dérivée du concept Cabronita, mais cette-fois elle reprend l'indémodable forme de la Strat. Pour les deux modèles on garde bien entendu une tête de Telecaster (ne jamais oublier que le concept de la Cabro vient de ce modèle...), et les deux boutons sont directement sur le corps, avec une petite plaque comme sur le prototype de la Tele, la fameuse Snake Head.
Enfin, le dernier modèle du lot est aussi une guitare à un seul micro et il s'agit de la Limited Jazzmaster Pro. La série Pro est conçue pour proposer des outils de tournée le plus performant possible, et ces modèles ne sont donc pas des répliques de millésimes historiques. Cette Jazzmaster est donc une pelle ultra simple avec son unique humbucker, ses deux contrôles et son corps blanc à plaque dorée. Bien sûr chaque détail a été soigné pour subir les rigueurs de la route sans broncher.
Pour couronner le tout, nos amis bassistes ont droit à une Precision 55 en finition noire par dessus un sunburst, pour un résultat fort sexy, monté d'origine en filé plat qui plus est.
Bien sûr, ils ont aussi présenté une guitare d'un mauvais goût absolument parfait avec la Custom Deluxe Jazzmaster, dans la lignée des modèles Select. On a droit à un corps en okoume (un bois exotique bien sûr) avec table rapportée en érable, et le tout bien sûr couronné par de l'accastillage doré ! Et je ne vous parle même pas du manche en érable flammé ou des mécaniques à blocage... Comble du ratage, elle a deux micros... Restons donc sur les trois modèles superbes que vous pouvez voir sur cette page.
Pour le reste c'est ici que ça se passe : http://www.fender.com/custom-shop/guitars/
Wednesday, May 1, 2013
Fantasmes 108 - Gibson Custom Shop Chris Cornell ES-335
http://www.themusiczoo.com/product/18023/Gibson-Custom-Shop-Chris-Cornell-ES-335-Electric-Guitar-Flat-Black/
D'accord, on ne peut pas dire que le chanteur de Soundgarden se soit particulièrement creusé la tête pour le design de son modèle signature, mais quand même une ES-335 Dot finie en noir mat ça a quelque chose de très touchant... Et pour peu qu'on rajoute une paire de TV Jones à la place des habituels humbuckers Gibson, et tout de suite ça devient carrément irrésistible ! Sur le stand Gibson de la Musikmesse, ce modèle hyper sexy représentait carrément la principale attraction, au milieu de sunbursts tous déjà vus... Comme quoi des fois il suffit d'une formule simple mélangée à une autre formule simple et le tout explose ! Bien joué Chris.
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